Ecole maternelle Pajol : The place to be

En ce qui me concerne, j’ai lutté becs et ongles afin de trouver une place en crèche pour Edie-Lise. J’ai finalement réussi à trouver une petite place bien doudoune pour elle à la crèche Ernest May dans la Cité des Fleurs à Paris.
Ce fût dur, ce fût âpre, ce fût ardu, mais pour nous, parents, l’endroit où nous laissons nos enfants toute la journée est primordial. Donc, inutile de dire à quel point j’aimerais habiter le 18ème, dans ce quartier en expansion autour du marché de l’olive, afin que ma fille soit admise dans cette superbe école maternelle qu’est l’école Pajol.
Réhabilitée et modernisée en 2011 par l’agence d’architecture Palatre et Leclere, l’école n’est qu’un parcours de jeu infini où même les toilettes sont plus excitantes que le plus dingue des parc d’attraction. Et je ne parle même pas de la cour d’école en arc en ciel qui met de la couleur et illumine la grisaille alentours (oui, bon, on est à Paris quand même, et dans le 18ème).
Regardez plutôt, ca donne pas envie ??

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La Pologne au top de la tendance ? Kids on the Moon

Jusqu’à présent la Pologne, en terme de vêtements d’enfant, pour moi, c’était plutôt une terre d’usine et de production. Et ne voilà-t-il pas que je tombe sur une (très) jolie marque polonaise de homewear pour les petits au creux d’un site de vente en ligne néerlandais.

Du coup, j’ai fait quelques recherches et n’ai pas trouvé grand chose sur la bête si ce n’est quelques interviews en polonais de ce qui semble être la créatrice. Euh, comment dire… Et quant à la seule boutique en ligne française au sein de laquelle on peut trouver les produits, c’est ici.
Moi, je suis assez fan du côté doudou du molleton, du gris chiné et des graphismes. En même temps, c’est tellement proche de NO KIDDING que c’est pas vraiment une surprise. Et vous, ça vous plaît ?

Le Facebook, quant à lui bien actif, est ici

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Paul Octavious : The Pantone Project

Toujours à la recherche de la parfaite nuance et/ou du parfait pantone pour mes gammes couleurs, je suis tombée récemment sur ce projet du photographe américain Paul Octavious.

Celui-ci vit et travaille à Chicago et s’est donné comme défi de retrouver toutes les couleurs du nuancier Pantone dans des photos du quotidien qu‘il traque. Voici les premières images de son projet, on attend la suite !

Et sinon, vous pouvez vous offrir les couleurs Pantone en cartes postales, c’est plutôt un joli cadeau, et pour suivre ce projet sur Facebook, c’est ici.

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Tie and Dye effects

Impossible d’ouvrir le moindre magazine de mode enfant (bon, en même temps, en version papier, y’en a pas 35, y’en a 3 : Milk, Bubble et Doolittle. Auquel s’ajoute le ultra-pointu-tendance-hipster magazine allemand Kid’swear, en anglais et difficilement trouvable en librairie. Mais bon, comme c’est une bible, faudrait pas oublier de le nommer), sans tomber sur une pièce Tie and Dye.
Le Tie and Dye, c’est un effet teint sur pièce. Ca peut faire des rosaces bien kitsh version paréo haïtien ou ça peut faire de subtils dégradés du jaune vif à l’orangé douceâtre. La mode du moment exige la version dégradé subtil, et vertical tant qu’à faire. Effet « j’ai trempé mes chaussettes dans un pot de teinture bleu klein et les pigments ont grignoté la fibre en remontant le long de celle-ci ».
Toutes les marques y sont allées de leur effet Tie and Dye.
Voici un shopping des meilleures pièces du moment :
Tie and Dye effects


Finger in the nose
$110 – fingerinthenose.com

Short Tie Dye
$140 – smallable.com

Été swim
talcboutique.com

Été swim
talcboutique.com

Dip dyed tassel garlands
theminimalist.com.au

ZARA
zara.com

KIDSCASE
kidscase.com

blog
wolfechild.net

Dressed To Kill x Itinéraire Bis

Vous connaissez Itinéraire Bis ?

IB est un site internet créé en 2012 ayant pour but de partager l’information artistique, musicale et évènementielle, de rester au contact des nouvelles tendances, le tout sur des lieux sortant des espaces conventionnels. Logique finalement qu’Itinéraire Bis décide de faire un article concernant DTK, puisque le but de mon blog est surtout de voir la Mode Enfantine d’un point de vue différent. De la replacer au centre de toutes les influences du moment et d’essayer de tisser la toile qui relie l’univers graphique, émotionnel et culturel des personnes qui la pensent et la dessinent.
En tant que styliste, je me suis toujours nourrie à de multiples sources. Nous avons tous nos influences, nos penchants, notre univers et celui-ci transpire dans la mode que nous proposons. Dressed To Kill se veut un Think Tank de mes influences. Je ne compte pas les imposer empiriquement, simplement les partager avec celles et ceux dont l’univers pourrait recouper le mien à un moment.
Ce qui fût le cas avec Itinéraire Bis. Alors, vite, allez découvrir le site ici.

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My world

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Last Lynx : Ocean Reels (Itinéraire Bis)

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Enemyl.T Yhpargotohp (Itinéraire Bis)

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collectif A&M (Itinéraire Bis)

The Good Machinery

J’ai découvert récemment une graphiste/peintre dont je ne sais pas grand chose si ce n’est qu’elle navigue entre l’Italie et les Balkans. Mais finalement, il n’est pas besoin d’en savoir beaucoup plus pour tomber amoureuse de ses animaux pile poil dans l’air du temps, avec leurs couleurs fluos et leurs motifs. En vente dans sa boutique Etsy.

Son site, son blog.

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Urbex – urbexing – urbexeurs

En 2004, je me souviens d’un pote qui avait rapporté une vieille lampe industrielle magnifique d’une expédition dans un lieu tenu secret, apparemment laissé à l’abandon et magnifiquement industriel. Apparemment aussi, l’accès avait été, comment dire, compliqué. Et bien sûr, il ne voulait pas me révéler l’emplacement de la chose.
Aujourd’hui, lorsque j’y repense, je me dis que c’était les débuts de l’Urbex. Mais je me dis aussi qu’il n’aurait jamais dû prendre cette lampe. Enfin bon.

Sur le net, on voit passer pas mal de posts concernant cette pratique plutôt clandestine, donc peu relayée, mais suffisamment hype pour que tout le monde s’y intéresse. Il s’agit d’exploration urbaine. J’ai trouvé des articles qui expliquent relativement bien le truc, et même un article de Rue 89 écrit par des journalistes ayant suivi des adeptes en live. Les portes d’entrée dans ce hobby sont diverses. Certains apprécient de connaître les coulisses de la ville, d’autres sont excités par le (relatif) danger, d’autres enfin ont des prétentions artistiques et photographiques. On connaît plus les cataphiles (ceux qui trainent dans les catacombes. Non merci pour moi) mais moins les toiturophiles (comme le nom l’indique, ceux qui sautent de toits en toits et prennent des risques). Moi, je suis plutôt attirée par le côté esthétique de la chose, cet esthétisme industriel qui me plaît tant. Donc je remercie les photographes avertis qui nous rapportent ces témoignages vibrants, et je me fait plaisir à voir circuler de magnifiques photos de lieux en perdition, isolés, abandonnés.

J’en ai sélectionné quelques uns. Ca claque quand même non ?!!

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Crowdfunding : les chaussures Monkies

Vous connaissez le Crowdfunding ? Non? Mais si, vous connaissez. My Major Company etc… C’est le principe de se mettre à plusieurs pour financer un projet et permettre à des créateurs de lancer leur idée. Ca peut être un disque, une start-up, une invention ou… des chaussures.
Alors si vous voulez bien investir votre argent (1$ minimum, ca va, c’est pas ruineux), vous pouvez investir dans ce super petit projet de derrière les fagots que j’ai dégoté en surfant : les chaussures Monkies.

Cela aurait pu s’appeler « dessiner en 3D, c’est mieux », et j’avoue que l’idée est plutôt séduisante. Une jolie boite avec 7 stylos magiques, 1 éponge magique et une paire de chaussures magiques.
Des chaussures sur lesquelles on peut dessiner. Même que c’est autorisé. Même que c’est encouragé. Puis on efface et on recommence.
J’avoue que là, c’est quand même pas mal. Je ne sais pas quelle pointure ils ont prévu, ni si les chaussures sont réellement confortables, mais je trouve que, colorées, elles ont un petit look pas mal.
Je vous laisse découvrir le projet avec la vidéo qui dit tout (et on n’y pense même pas, ils n’ont pas prévu de la faire en taille adulte) !

Le site, le Facebook

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Baby elephant style is my style – Polyvore shopping

Dernièrement, sur les blogs « lifestyle » comme on dit, ceux où on voit plein de belles photos de plein de beaux objets mis en valeur dans plein de beaux intérieurs (allez voir dans la blogroll, il y en a plein), on voit circuler des photos de nursery.
What is a nursery ? Dans ce contexte, ce sont des photos de chambres de nourrisson, mises en valeur par des photographes, des designers et des architectes d’intérieur pour nous donner des idées et des envies pour accommoder nos propres chambres d’enfant. Inutile de dire que dans mon cas, c’est surtout une grande frustration indescriptible car il faut souvent un appartement grand comme le Palais de Tokyo, et aussi vide d’ailleurs (je me comprends), pour pouvoir ne serait-ce qu’envisager un seul de ces meubles/objets/bibelots.

Pourtant, je flâne, je muse, je shoppe et je me suis arrêtée sur la plus en vogue du moment. La nursery du petit Dash, dont les parents, Max et Margaux Wanger, photographes de leurs états, ont travaillé avec Morgan, le bricoleur du site The Brick House et Sharon Montrose, la photographe de The Animal Print Shop, responsable des si jolies photos d’animaux de la boutique (si vous souhaitez faire un cadeau à Edie-Lise…), et notamment de cette photo de bébé éléphant à partir duquel tout à commencé.

Parce que la chambre a été pensée et décorée autour de cette photo, et c’est cette photo qui m’a donné envie du petit shopping éléphantesque suivant.

Et vous, le bébé éléphant, il vous parle ??

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Elephant style par stephanie-dressedtokill
(voir les éléments du shopping plus bas)

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Short sleeve tee
sheinside.com

Scarve
julievos.com

Trophée Eléphant Bibib Co
$93 – filedanstachambre.com

Anana Elephant Lamp
kidcrave.com

my mama’s table
mymamastable.com

cute elephant cookies!
hello-naomi.blogspot.jp

Eyan
lattrapereves.bigcartel.com

Pikachu !! – Tim Burton x Pokemon

En bonne fan de Tim Burton (euh plutôt les premiers films parce que dernièrement… comment dire…), je ne pouvais pas passer à côté de ces créations. Hatboy, à savoir Vaughn Pinpin, un étudiant illustrateur, a réalisé une cinquantaine de dessins transformant les pokémons les plus connus en pokémon-tim-burtonniens.

C’est plein d’humour et le trait aurait pu être du maître lui-même, donc chapeau bas Monsieur Pinpin, et merci pour ces petites pépites.

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